Aérer plus pour travailler plus

Publié le 26 octobre 2020

Pour améliorer la productivité au bureau, j’ouvre les fenêtres… Eh oui, un air plus propre aide à mieux faire travailler ses méninges.

Et dire que les petits génies des ressources humaines se cassent parfois la tête pour augmenter la productivité des équipes. C’est simple, ouvrez les fenêtres ! On ne l’imagine pas forcément, mais de savantissimes études ont montré les bénéfices d’une bonne qualité de l’air intérieur. Jusqu’à 30% de facultés cognitives gagnées ! D’accord, on le reconnaît, d’une étude à l’autre, les chiffres divergent, mais le gain est toujours significatif. Selon une étude du NIEHS (National Institute of Environmental Health Sciences) réalisée en 2015 : plus la teneur en CO2 (dioxyde de carbone) augmente dans l’air intérieur, plus les facultés cognitives des collaborateurs diminuent, plus il devient difficile de se concentrer. La prestigieuse Harvard avait estimé également que dans les bâtiments sains, les travailleurs augmentaient leur productivité de l’ordre de 10%.

Un air plus propre aide donc au travail des méninges, mais il favorise aussi le bien-être des collaborateurs. Avec moins de fatigue, moins de maux de tête, moins d’irritations, moins d’allergies, tous ces symptômes désormais bien connus qui puisent parfois leur origine dans l’environnement intérieur. Là aussi, on trouve de savantes études qui disent combien une bonne qualité de l’air intérieur permet de réduire significativement l’absentéisme. L’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire, alimentation, environnement, travail) s’était d’ailleurs penchée sur la question en 2014, estimant que la mauvaise qualité de l’air intérieur avait un coût économique et sanitaire de 20 milliards d’euros entre les arrêts maladie, la perte économique des entreprises, le surcoût pour la Sécu… Rien que pour la France et rien que pour une année.

D’où l’importance d’aérer régulièrement les lieux de travail, de disposer d’une bonne ventilation pour assurer le renouvellement d’air et idéalement, d’avoir un système de surveillance de la qualité de l’air intérieur. A l’instar du boitier Air Sense développé par SGS France et distribué en exclusivité par le réseau EX’IM. Une riche idée me direz-vous ? Oui, mais c’est parce que justement, on veille à la qualité de l’air intérieur chez nous.